Droits des patients et des enfants hospitalisés, pendant l’enfermement

Droits des patients et des enfants hospitalisés, pendant l’enfermement

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Aujourd’hui, le 18 avril, c’est la Journée européenne des droits des patients et nous tenons à vous rappeler que malgré l’état d’alarme décrété en raison de la pandémie les patients continuent à conserver tous leurs droits. Cela signifie que si vous avez un fils ou une fille à l’hôpital, ses droits sont intacts, qu’il soit admis en raison de COVID 19 ou non.

Une autre chose est les services et les avantages dont vous bénéficiez dans les centres de santé et qui ont peut-être été touchés, mais disons que certains de ces droits sont basés sur le fait d’être un utilisateur du service de santé. Nous sommes tous conscients de la situation exceptionnelle dans laquelle nous vivons, mais nous voulons vous rappeler quels sont les droits des patients, et également quels sont les droits de l’enfant hospitalisé.

Index

  • 1 Droits de l’enfant hospitalisé
  • 2 Droits fondamentaux des patients
  • 3 Droit à l’information

Droits de l’enfant hospitalisé

Si, en cette période de chaos sanitaire, vous avez un enfant hospitalisé, sachez que ses droits, garantis par la loi sur la protection de l’environnement (LPE), peuvent être invoqués. Charte européenne des droits de l’enfant hospitalisé restent intacts.

Certains de ces droits sont, par exemple, que l’hospitalisation de jour ne doit pas être une charge financière charge financière supplémentaire pour les parents, que les parents ou leur substitut légal. Que le les parents peuvent passer le plus de temps possible pendant leur séjour à l’hôpital. Les parents ne sont pas des spectateurs passifs, mais des éléments actifs de la vie de l’hôpital.

L’enfant a le droit de recevoir des informations sur leur maladie, son traitement et ses perspectives, et le médecin est tenu de leur donner ces informations en termes compréhensibles pour eux. Ce point est particulièrement sensible dans de nombreuses familles, notamment dans le cas des adolescents. L’enfant a le droit de refusent (par la bouche de leurs parents) d’être des sujets de recherche et de refuser tout soin ou examen dont le but premier est éducatif ou informatif et non thérapeutique.

N’oubliez pas que pendant votre hospitalisation, vous avez le droit d’être avec d’autres enfants, de poursuivre leur scolarité, et de bénéficier des enseignements des professeurs et du matériel pédagogique disponible à l’hôpital. Et bien sûr, et ce n’est pas une question mineure, l’accès à des jouets, des livres, du matériel audiovisuel adaptés à leur âge.

Droits fondamentaux des patients

À l’occasion de la Journée européenne des droits des patients, nous tenons à vous rappeler qu’il s’agit essentiellement de ces droits :

  • Droit de information (santé, épidémiologie, assistance…).
  • Droit d’accès et de formation d’un les dossiers médicaux. Les centres de santé doivent disposer d’une procédure garantissant le droit d’accès à leur propre dossier médical. Dans toute l’Espagne, il est possible d’y accéder par voie télématique. Dans le même temps, toutes les exigences en matière de vie privée et d’intimité doivent être garanties et respectées.
  • Droit de décider de leur santé. Ce sont les parents qui décident dans le cas des mineurs. Les parents peuvent demander la décharge volontaire de leurs enfants.
  • Droit d’avoir de faire respecter leur volonté. Toute personne majeure, capable et libre, peut donner un préavis sur les soins de santé et les traitements qu’elle souhaite recevoir. Dans le cas des mineurs, ce sont les parents ou les tuteurs légaux qui doivent mettre ces instructions par écrit.
  • Droit de réclamation. Il y a la figure du médiateur des patients.

Droit à l’information

Le droit de informations sanitaires et épidémiologiques À l’heure actuelle, ce droit présente un intérêt particulier pour toute personne, patiente ou non. Les informations diffusées doivent être formulées en termes véridiques, compréhensibles et adaptés aux besoins du patient.

Dans le cas des mineurs cette information doit être donnée aux parents, expressément ou tacitement.. Il faut garder à l’esprit que toute action qui affecte la santé nécessite un consentement, ce que l’on appelle généralement un consentement éclairé et qui est signé par les deux parents. En même temps, le père, la mère ou les deux peuvent librement révoquer leur consentement par écrit ou exprimer leur souhait de ne pas être informés.

Le site Le droit à la confidentialité est limité dans certains cas. Toutefois, les données personnelles du patient ne sont jamais divulguées, mais lorsque la santé publique est en jeu, par exemple, dans le cas de COVID19 , lorsqu’il s’agit d’enrayer certaines maladies infectieuses-contagieuses, celles-ci sont notifiées.