Le suicide chez les adolescents. Comment aider les familles à surmonter le deuil

Le suicide chez les adolescents. Comment aider les familles à surmonter le deuil

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Le site mort auto-infligée d’un adolescent par désespoir ou par frustration est dévastateur pour la famille, les amis et la société en général. Le site le suicide crée chez les parents, les frères et sœurs, les pairs, les voisins un sentiment de culpabilité s’ils auraient pu faire quelque chose à ce sujet. Ces questions et d’autres, vécues au sein de la famille, sont très difficiles à traiter, et nous vous recommandons, si vous connaissez quelqu’un dans cette situation, ou si vous connaissez quelqu’un dans cette situation, ou si vous connaissez quelqu’un dans cette situation, de vous adresser à un professionnel.

Toutefois, nous souhaitons aborder la question du suicide des adolescents sous l’angle de son impact sur la famille et fournir quelques idées et orientations qui peuvent aider à aller de l’avant.

Index

  • 1 Démarrer le processus de récupération
  • 2 Sensibiliser au suicide des adolescents
  • 3 La stigmatisation sociale du suicide des adolescents.

Commencer le processus de rétablissement

Pour le les parents et les frères et sœurs la mort d’un adolescent est une perte indescriptibleCela marquera le reste de leur vie. Certains sentiments de chagrin ne disparaîtront peut-être jamais, mais certaines mesures peuvent être prises pour entamer le processus de guérison.

Ne vous isolez pas, garder le contact avec les autres, la famille, les amis, les voisins. Entourez-vous de personnes positives et solidaires à qui parler de votre enfant et de vos sentiments. Tous les membres de la famille souffrent et chacun exprime son chagrin d’une manière différente. Les autres enfants, frères et sœurs de la personne suicidaire peuvent ne pas vouloir exprimer leurs sentiments, afin de ne pas accabler les parents.

Quand ils arrivent datesNoël, les anniversaires, les fêtes de fin d’année, vont être difficiles. Ces journées rendent évidents les sentiments de perte et d’anxiété. Traitez ces jours comme vous le souhaitez, il y a des personnes qui cherchent à s’isoler ces jours-là et d’autres qui ont besoin du soutien d’un hommage.

Il est normal de se sentir coupable et de se demander comment ou pourquoi cela a pu arriver. Mais il est également important de reconnaître qu’il est possible que il n’y a pas de réponses valables pour vous. Vous devez en arriver à pardonner, que ce soit à votre enfant, à vous-même ou à d’autres membres de votre famille.

Rendre le suicide des adolescents visible

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Le suicide de des enfants et des adolescents n’est pas rendue visible. En ce sens, de nombreux parents dont les enfants se sont suicidés soulignent l’importance de pour sauver leurs histoires et leur donner une voix, un nom et devant les enfants qui s’enlèvent la vie pour aider d’autres enfants, adolescents et leurs familles. Ces expériences peuvent aider à détecter les signes susceptibles d’empêcher leur suicide et à apprendre à vivre après le suicide d’un fils ou d’une fille.

Dans la plupart des villes et dans les Dans les unités de santé mentale, il existe des groupes de survivants FAeDS, des familles et des proches endeuillés par le suicide. C’est une tâche fondamentale de ces groupes que de transmettre la sérénité. Ces groupes n’ont pas pour but de sauver le processus de deuil, ni de le précipiter, mais d’accompagner.

Parfois, lorsqu’un élève se suicide, les écoles font appel à des conseillers, des psychologues ou des parents d’enfants qui se sont suicidés, pour parler aux étudiants et les aider à faire face. N’oubliez pas de soutenir l’adolescent qui est confronté au suicide d’un ami ou d’un camarade de classe à l’école, encouragez-le à vous en parler ou à un autre adulte de confiance.

La stigmatisation sociale du suicide des adolescents

La stigmatisation est un aspect loin d’être négligeable. Bien que les choses changent, la plupart des familles vivent toujours le suicide comme un… une véritable stigmatisation qui les remplit de honte.C’est un sentiment qui se crée, même si l’environnement évite toute remarque négative et transmet le plus de soutien possible. C’est un sentiment qui se crée, même si l’entourage évite toute remarque négative et apporte le plus de soutien possible.

Pour éviter cette stigmatisation, la famille ressent parfois le besoin de considérer le comportement de la victime non pas comme un suicide, mais comme un… la mort accidentelle. Cela crée finalement des schémas de communication déformés qui cherchent à masquer une réalité extrêmement douloureuse. Un véritable tabou est créé sur ce qui est réellement arrivé à la victime. La véritable cause de la mort est cachée.

Le suicide est considéré comme le troisième cause de décès chez les 15-24 ans.après des accidents et des homicides. En outre, au moins 25 tentatives sont faites pour chaque suicide accompli.